Linux Mint 13 « Maya » et le plugin « Flash »

Linux Mint est une distribution appréciable car ses promoteurs font un maximum pour qu’aussitôt installée elle soit « prête à l’emploi ».

La version 13 dite « Maya » est un peu particulière car il s’agit d’une version dite « de long terme » destinée à rester stable durant 5 ans. Il est donc possible, sur ce type de version, de s’en tenir aux mises à jour de sécurité.

Depuis la fin du mois de mars 2013, j’ai remarqué que les animations « Flash » via le navigateur Firefox ne sont plus spontanément affichées. En lieu et place figure ce type de présentation :

Message de sécurité à propos du plugin "Flash"Après maintes recherches j’ai compris que le navigateur Firefox, à chaque utilisation d’un plugin, vérifie dans une base de données distante si la version de ce plugin est jugée sûre ou pas. Si elle est jugée insuffisamment sécurisée, Firefox désactive par défaut l’appel du plugin. Il est possible cependant de passer outre en cliquant simplement sur la zone sombre.

Les versions Flash pour Linux qui sont jugées potentiellement suspectes par Firefox sont les versions numérotées de 11.0 à 11.1.* et ce, depuis le 26 mars 2013.

Des recherches complémentaires m’ont permis de voir que l’éditeur Adobe ne va plus développer de nouvelle version Flash pour Linux. Plus généralement, pour Windows, cet éditeur va davantage centrer – semble-t-il – ses futurs développements de Flash pour des besoins plus spécifiques et non plus la vidéo. Il semblerait que l’arrivée du HTML5 qui aura comme corollaire la possibilité de se passer de plugin pour les animations vidéo ait orienté significativement ce choix d’Adobe.

Pour l’instant, il est quand même possible de continuer à utiliser Flash pour Linux car Adobe va continuer les mises à jour de sécurité sur une version précise de Flash : la version 11.2.

Il est donc curieux qu’une version stable et qui se veut sécurisée comme Linux Mint 13 s’en tienne à une version de plugin (Flash 11.0 r1) qui ne soit plus jugée sûre par Firefox, et qui n’est plus maintenue par Adobe. Si un jour quelqu’un pouvait m’éclairer à ce sujet je l’en remercie par avance.

La version de Flash qui est installée automatiquement avec Linux Mint 13 « Maya » est véhiculée par les paquets « mint-flashplugin » et « mint-flashplugin-11″.

Un autre paquet permet d’installer également Flash : « flashplugin-installer ». Ce paquet est géré par Ubuntu.

Questions : Est-ce que le remplacement du paquet « mint-flashplugin » par « flashplugin-installer » suffit à se remettre à jour de la version de Flash encore maintenue par Adobe ? D’autre part l’installation de « flashplugin-installer » induit le retrait des paquets « mint-flashplugin » et « mint-meta-codecs » : est-ce que le retrait de ces deux paquets peut induire un désagrément et si oui lequel ?

J’envisage de faire l’essai dans les prochaines semaines. Lorsque j’en saurai plus je mettrai cet article à jour. En attendant, si vous avez d’autres informations susceptibles d’être utiles n’hésitez pas à laisser un commentaire.

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Linux – Ubuntu – Pouvoir enregistrer de l’audio sans difficulté.

Peut-être vous êtes vous demandé comment enregistrer une séquence ou un flux audio en provenance d’Internet ou bien de votre DVD favori afin de pouvoir le réécouter autant de fois que vous le souhaitez ? Seulement voilà, vous n’avez pas trouvé le logiciel qui vous permet de faire cela simplement.

Il existe un logiciel libre utilisable sous l’environnement graphique GNOME uniquement et facilement installable sur les distributions Linux dérivées de DEBIAN, telle qu’UBUNTU. Ce logiciel s’appelle « Audio Recoder Applet ». Je n’ai pas testé l’installation sous DEBIAN mais d’après mes informations cela devrait se faire simplement. J’ai en revanche testé l’installation sous UBUNTU Lucid : absolument aucun problème.

Vous êtes intéressé ? Alors je vous recommande d’aller voir sur https://launchpad.net/rec-applet. L’installation est décrite sur https://launchpad.net/~osmoma/+archive/rec-applet.

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L’affichage des polices Microsoft sur le WEB avec LINUX

Il est regrettable de constater que certains sites WEB sont conçus pour fonctionner préférentiellement avec les polices utilisées par Microsoft ™. D’autre part, pour les échanges de documents bureautique, notamment traitement de texte, vous pouvez être exposés à des difficultés de lecture où de présentation d’un document, faute d’avoir une police identique à celle détenue par votre partenaire.

Heureusement il y a un moyen de se procurer sous Linux certaines de ces polices – les plus courantes -. Cet article explique comment faire pour la distribution DEBIAN (Etch et Lenny) ainsi qu’Ubuntu (Lucid 10.04 LTS).

SUR ETCH :

Notez qu’il existe un paquet nommé “msttcorefonts” dont la finalité est de télécharger des polices dites “Microsoft ™ True Type Core Fonts”. Pour que ce téléchargement fonctionne il faut qu’une connection Web soit disponible durant l’installation du paquet. Pensez à quitter l’application puis à la relancer pour vérifier si l’application de ce paquet vous donne satisfaction.

SUR DEBIAN/LENNY et UBUNTU/Lucid :

Le paquet “msttcorefonts” a été remplacé par le paquet “ttf-mscorefonts-installer”. Ce nouveau paquet fonctionne comme son prédécesseur sur ETCH, avec une connexion Web.

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Ubuntu et le portable TOSHIBA Satellite U500 – 1GC

Cela faisait longtemps que je souhaitais m’équiper d’un ordinateur portable. Jusqu’ici j’hésitais car je souhaitais impérativement pouvoir utiliser Linux.

Malgré mes recherches, je n’ai pas été convaincu par les sites qui énumèrent la liste des portables réputés être compatibles avec telle ou telle distribution de Linux. Les modèles mis en vente sur le marché sont renouvelés avec une cadence si élevée que ces sites font état très rapidement de portables « désuets ».

Finalement je me suis jeté à l’eau et j’ai été « joueur » dans la mesure où j’ai acheté un ordinateur portable sans vraiment savoir si je parviendrais à utiliser Linux ou pas avec. A vrai dire, le risque me semblait limité car, si, au moment de l’achat je ne parvenais pas à faire touner Linux je restais persuadé que tôt ou tard une distribution parviendrait à monter les composants logiciels permettant à Linux de fonctionner.

Mon choix s’est porté sur le TOSHIBA Satellite U500 – 1GC. Etant un utilisateur de longue date de DEBIAN, mais ne souhaitant pas passer trop de temps à rechercher les pilotes susceptibles de me manquer, j’ai choisi d’utiliser la distribution UBUNTU qui est très proche de DEBIAN et qui, de réputation au moins, semble fournir plus rapidement les pilotes appropriés.

Je me suis donc procuré la dernière version alors en date du CD : 10.04 nommée « Lucid ». Je l’ai testé en « live » et là, je me suis rendu compte que la liaison Wifi ne fonctionnait pas… Dommage pour un portable !…

Persuadé que ce problème serait de toute façon résolu, j’ai quand même installé Ubuntu MAIS en « dual boot » avec Window – sait-on jamais…

Après maintes recherches sur Internet, j’ai fini par trouver que si je parvenais à relier mon portable sur Internet je pourrai alors bénéficier d’une mise à jour du noyau Linux ce qui résoudrait le problème de reconnaissance de l’interface Wifi.

Je m’en suis sorti en branchant une clé Wifi usb qui – elle – était reconnue…, puis en procédant à une mise à jour du paramétrage des dépôts de paquets afin d’accéder au dépôt accessible sur la toile « lucid-update ». Ensuite, j’ai fait en sorte de bénéficier d’une mise à jour et depuis, j’ai un nouveau noyau et maintenant le Wifi fonctionne.

Tout cela pour vous dire que ce portable fonctionne finalement plutôt bien avec Ubuntu. J’écris « plutôt bien » car certaines fonctionnalités comme l’hibernation ne marchent pas. Cela étant, je suis satisfait du fonctionnement général de mon portable avec Linux.

Mais peut-être restez-vous sur votre faim et aimeriez-vous avoir des précisions complémentaires sur le niveau de compatibilité d’Ubuntu avec le modèle Toshiba Satellite U500 – 1GP ? Dans ce cas n’hésitez pas à me poser une question à l’aide des commentaires.

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Décimale sur le pavé numérique sous LINUX : virgule ou point.

Durant les saisies en masse de nombres avec décimale dans un tableur, il est utile d’avoir accès à la virgule directement sur le pavé numérique, en lieu et place du point, car en Français, c’est la virgule qui fait office de décimale.

La Debian ETCH contient une série de paquets permettant de bénéficier de la suite “Open Office” version 2.0. Debian LENNY intègre la version 2.4. Cette suite bureautique intègre entre autres un tableur.

Normalement, une fonctionnalité d’Open Office permet lorsqu’on utilise la touche ”.” (point) du pavé numérique de saisir en fait une virgule si on a préalablement opéré le paramétrage suivant :
Menu Outils > Options > Paramètres linguistiques > Langues et que l’on a activé la case à cocher “Touche séparateur de décimales identique à l’environnement linguistique”, sous réserve que votre environnement linguistique soit le français, ce que vous pouvez assurer en positionnant la rubrique “Environnement linguistique” précisément sur “Français (France)”.

En principe cela devrait suffire à faire le choix du type de caractère réellement accédé à partir de la touche ”.” (point) du pavé numérique : virgule ou point suivant votre préférence.

Seulement voilà, ça ne marche pas à tous les coups. Les raisons ne sont pas toutes comprises par le contributeur de cette section…

Si vous êtes dans cette situation, vous pouvez tenter alors trois stratégies. La première ne marchera peut-être pas mais cela vaut le coup d’essayer. La deuxième en revanche ne devrait pas manquer de vous donner satisfaction.

Première technique (testée sur LENNY) : Dans le menu “Système” de Gnome > Préférences > Clavier > Onglet Agencements vous cliquez sur l’agencement (ou type de clavier) qui est proposé dans la liste, puis, ensuite vous cliquez sur le bouton “Options de l’agencement”.

Là, vous voyez apparaître une liste d’options. Choisissez celle intitulée “Numeric Keypad delete key behaviour”. Cet intitulé signifie “Comportement de la touche delete” du clavier numérique”.

Vous avez alors accès à une liste d’options : cliquez pour l’activer l’option intitulée “Legacy key with comma”. Fermez la boîte de dialogue. Vous pouvez faire ensuite un essai dans la rubrique “Saisissez une phrase pour tester les réglages”. Normalement, toute utilisation de la touche “point” du clavier numérique doit désormais se traduire par la saisie d’une virgule.

L’avantage de cette technique : simple à mettre en oeuvre. Inconvénient : pour taper désormais un point, elle vous oblige à utiliser la touche point du clavier standard. A vous de voir si cet avantage et inconvénient vous conviennent.

Deuxième technique (Testé sur ETCH mais sans succès) : Dans le menu “Système” de Gnome > Préférences > Clavier > Onglet Agencements vous cliquez sur ”+ ajouter” et vous choisissez un autre clavier “France” que celui qui vous est proposé par défaut.

Il vous faudra peut-être faire plusieurs essais ensuite sous Open Office mais avec un peu de chance vous devriez résoudre votre problème.

Troisième technique (testée sur ETCH et LENNY).

La commande xev (cf. le manuel), saisie dans un terminal de commande, a deux effets :

  • faire paraître une fenêtre X Window de test,
  • énumérer sur le terminal de commande les événements qui se produisent sur cette fenêtre, y compris l’utilisation d’une touche du clavier.

Cette dernière possibilité est utilisée ici pour déterminer quel est le code reçu par une application X lorsque la touche ”.” (point) du pavé numérique est enfoncée.

L’action de cette touche, conjointement avec l’utilisation de xev fait paraître le message suivant dans le terminal de commande :

KeyPress event, serial 29, synthetic NO, window 0×3000001,
root 0x3e, subw 0×0, time 2817022729, (797,183), root:(802,256),
state 0×10, keycode 91 (keysym 0x2e, period), same_screen YES,
XKeysymToKeycode returns keycode: 59
XLookupString gives 1 bytes: (2e) ”.”
XmbLookupString gives 1 bytes: (2e) ”.”
XFilterEvent returns: False

Comme vous pouvez le lire, le “keycode” associé à cette touche est valorisé à 91.

Faites également un essai sur votre clavier pour vous assurer que c’est bien ce code là qui est utilisé également.

Muni de cette information, il est alors possible de la réutiliser avec la commande xmodmap. Cette commande vise notamment à modifier l’interprétation que votre système doit donner aux différentes touches de votre clavier. Consultez le manuel pour plus d’information.

En général, sur les claviers Français, la touche ”.” (point) du pavé numérique est accessible de deux manières :

  • si la touche est “shiftée”, c’est à dire si on appuie sur une des deux touches “Shift” (en général symbolisée avec une flèche ascendante) situées à droite et à gauche de la partie du clavier hors pavé-numérique,
  • en activant une autre touche du pavé numérique nommée “Verr num” qui a exactement le même effet que l’une des deux touches “Shift”.

Quand elle n’est pas “shiftée” cette touche est alors équivalente à la touche “Suppr” ou “Delete”. Cette touche a donc deux interprétations :

  • Delete,
  • ”.” (point),

suivant le cas : non “shiftée” ou “shiftée”.

La commande xmodmap va donc être utilisée pour remplacer le ”.” par une ”,” (virgule), tout en préservant le cas du “Delete”. Elle va être utilisée ici pour modifier la touche dont le numéro est 91 et faire en sorte que désormais les deux interprétations possibles soient :

  • Delete,
  • ”,” (virgule).

En appliquant les indications données par le manuel la commande requise sous le terminal de commande pour procéder à cette modification s’établit donc comme suit :

xmodmap -e “keycode 91 = Delete comma”

Et si vous souhaitez revenir à la situation antérieure, il suffit d’appliquer la commande :

xmodmap -e “keycode 91 = Delete period”

Vous pouvez en faire des scripts, directement accessibles à partir du bureau, pour passer d’une interprétation à l’autre, selon vos souhaits et vos besoins.

Je serais bien étonné qu’au moins l’une de ces techniques ne vous donne pas satisfaction.

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Changer l’encodage utilisé pour les noms de fichiers

Vous venez de passer de la SARGE à ETCH, ou bien vous venez d’installer ETCH, et vous constatez que l’encodage du “file system” est passé à l’UTF-8. Les choses auraient pu en rester là mais vos noms de fichier qui contenaient un caractère spécial tel que, par exemple, un caractère accentué, apparaissent maintenant avec un caractère bizarre. La conséquence possible est que certaines applications ont du mal à ouvrir de tels fichiers.

Je n’ai pas eu l’occasion de vérifier ce procédé sur la DEBIAN LENNY. Si vous avez une information à ce sujet, n’hésitez pas à déposer un commentaire ;-)

Sachez qu’il existe un paquet nommé “convmv” qui permet, une fois installé, d’utiliser la commande du même nom “convmv”. Cette commande vise précisément à rectifier les noms de fichiers et de répertoires mal “encodés” pour les renommer de manière appropriée.

Typiquement, un exemple d’usage de la commande pourrait être :

convmv -f latin1 -t utf8 -r *

ce qui veut dire que les noms de fichiers qui utilisent l’encodage “latin1” doivent être simplement listés à l’écran avec une proposition de renommage en appliquant l’encodage “utf8”, à appliquer non seulement au répertoire courant, mais aussi à l’ensemble des noms des sous-répertoires et des noms de tous les fichiers.
Si cette liste convient, il est alors possible de procéder cette fois-ci au véritable renommage en utilisant l’option ”–notest” comme suit :

convmv -f latin1 -t utf8 -r –notest *

La difficulté dans ce type de commande est de connaître l’encodage d’origine et l’encodage cible. Notez que la commande “locale” peut vous aider à y répondre. Par exemple, si elle donne un résultat tel que :

LANG=fr_FR.UTF-8
LC_CTYPE=“fr_FR.UTF-8”
LC_NUMERIC=“fr_FR.UTF-8”
LC_TIME=“fr_FR.UTF-8”
LC_COLLATE=“fr_FR.UTF-8”
LC_MONETARY=“fr_FR.UTF-8”
LC_MESSAGES=“fr_FR.UTF-8”
LC_PAPER=“fr_FR.UTF-8”
LC_NAME=“fr_FR.UTF-8”
LC_ADDRESS=“fr_FR.UTF-8”
LC_TELEPHONE=“fr_FR.UTF-8”
LC_MEASUREMENT=“fr_FR.UTF-8”
LC_IDENTIFICATION=“fr_FR.UTF-8”
LC_ALL=

C’est que sur la machine où vous avez tapé la commande vous êtes en UTF-8.

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Le rétro-portage (backport) avec Debian

La distribution DEBIAN permet d’utiliser la technique dite du “rétroportage”. En résumé, cette technique consiste à utiliser un composant logiciel initialement prévu pour une version future mais en l’appliquant sur la version antérieure. Sur une distribution telle que la DEBIAN elle permet en cas de besoin de bénéficier “avant l’heure” des toutes dernières mises à jour d’un composant donné, dûment testées.

Un exemple. Lorsque j’utilisais la distribution DEBIAN ETCH, je ne parvenais pas à utiliser la version 10 du plugin “Flash” d’Adobe ™ : pas de paquet disponible pour cela.

Consultez le site officiel de DEBIAN si vous désirez en savoir plus sur la notion de paquet.

Il existe également un site officiel consacré au rétroportage sur DEBIAN, ce site comporte une page qui décrit comment mettre en oeuvre le rétroportage pour un paquet donné.

Pour bénéficier de la version 10 du plugin “Flash” d’Adobe il fallait :

  • appliquer les instructions permettant de bénéficier des paquets de rétroportage,
  • faire une recherche via l’outil apt-get ou en utilisant un outil tel que Synaptic pour vous assurer que vous visualisez le paquet “flashplugin-nonfree”,
  • intaller le paquet.

Et le tour était joué !

Notez qu’un clic sur le bouton droit de la souris pourrait laisser entendre que c’est la version 9 de Flash qui a été effectivement installée. Il s’agissait bien de la version 10. Visiblement il y avait quelque part une gestion incorrecte du numéro de la version effectivement installée.

La technique du rétroportage doit en principe se limiter au strict nécessaire. Pour cette raison, afin d’éviter d’installer à l’avenir un autre paquet de rétroportage sans l’avoir désiré, il est conseillé de retirer du fichier “sources.list” l’URL qui permet de faire du Backport – par exemple en la mettant en commentaire -, et ensuite de resynchroniser apt-get avec l’option update. Si vous n’êtes pas familiarisé avec ce type d’intervention vous pouvez parvenir au même résultat avec le logiciel Synaptic, en utilisant la commande “Dépôts” du menu “Configuration”.

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Pour ceux qui installent DEBIAN à partir de DVD : bon à savoir…

Si vous installez DEBIAN à partir de DVD contenant les binaires à installer, pensez, une fois l’installation faite, à vérifier que les DVD soient bien recensés dans la liste des dépôts connus de votre système.

Par exemple, sur DEBIAN ETCH, une installation de type “bureautique” sur PC se contente du premier des trois DVD disponibles. Sans intervention expresse de votre part, seul ce premier DVD sera connu d’une commande telle qu’apt-get pour toute installation de paquet supplémentaire.

Si vous n’êtes pas trop familiarisé avec les options de la commande “apt-get”, et que vous ne souhaitez pas mettre à jour vous-même le fichier “sources.list”, vous pouvez faire appel au logiciel “Synaptic”, et intervenir dans le menu “Configuration”, commande “Dépôts”, et procéder à la mise à jour par l’usage de l’option “Ajouter un CD-Rom”.

Ainsi, pour reprendre l’exemple d’ETCH, vous faites varier le nombre total de paquets connus du système de 5000 à 18000… Ça vaut le coup non ?

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